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1.
S. Afr. med. j ; 112(2): 102-107, 2022.
Article in English | AIM | ID: biblio-1358375

ABSTRACT

Background. Bloodstream infections are an important cause of mortality in children. Blood cultures (BCs) remain the primary means of identifying organisms and their antibiotic susceptibility profiles. A shortcoming of BCs is that up to 56% of positive cultures will represent contaminants. Poor adherence to standard practices applicable to BC sampling could explain an unacceptable contamination rate. Objectives. To determine: (i) the BC contamination rate in the departments of paediatrics and child health at two tertiary hospitals in central South Africa; and (ii) BC sampling practices among paediatric clinicians. Methods. The author determined the prevalence of BC contamination by analysis of laboratory data for the period 1 May - 27 August 2019, and assessed possible factors contributing to BC contamination by surveying paediatric medical staff with a self-administered BC practices questionnaire. Results. Of the 244 BCs reviewed, 25.4% were positive. The most commonly isolated pathogens were coagulase-negative staphylococci (CoNS) (33.3%), Escherichia coli (22.2%), Enterococcus faecium (16.7%) and Acinetobacter baumannii (11.1%). In total, 15.2% of the BCs yielded contaminants and 2.9% had polymicrobial growth. The most common contaminant was CoNS. Approximately 68% of clinicians were not aware of BC sampling guidelines, and even among those who were aware of the guidelines, non-compliance was reported. Conclusions. The BC contamination rate was higher than internationally accepted rates. Educating clinicians on specific BC sampling guidelines is strongly recommended to decrease the high rate of contamination observed in this study.


Subject(s)
Humans , Infant, Newborn , Infant , Child, Preschool , Pediatrics , Blood , Child Health , Blood Culture , Blood Safety , Tertiary Care Centers
2.
Pan Afr. med. j ; 33(193)2019.
Article in French | AIM | ID: biblio-1268572

ABSTRACT

Introduction: la réalisation des hémocultures est le meilleur moyen de diagnostic des bactériémies, cependant les résultats faussement positifs peuvent entraîner une confusion concernant les schémas thérapeutiques antibiotiques, mettant ainsi en danger la sécurité des patients. L'objectif principal de ce travail est d'évaluer la prévalence des Staphylocoques à coagulase négative (SCN) ainsi que Corynebacterium spp et Bacillus spp dans les ballons d'hémoculture analysés au Laboratoire de Microbiologie du Centre Hospitalier Universitaire (CHU) Ibn Rochd de Casablanca. Cette prévalence a été aussi évaluée en fonction de différents services hospitaliers sur l'année 2016.Méthodes: il s'agit d'une étude rétrospective descriptive basée sur une analyse de la base de données informatisée du laboratoire de bactériologie-virologie du CHU Ibn Rochd de Casablanca sur une période de 12 mois allant du 1er janvier au 31 décembre 2016, Ont été inclus dans notre étude les bactéries faisant partie de la flore commensale (staphylocoque à coagulase négative,corynébactéries spp et Bacillus spp) Les ballons d'hémoculture ont été incubés sur automate Bactec FX . L'identification des germes à partir d'une culture positive a été réalisée selon les techniques standards de bactériologie et l'antibiogramme selon EUCAST 2015. L'étude est basée sur une analyse de la base de données informatisée du système KALISIL (Netika) version (2.2.10.) du laboratoire de microbiologie du CHU Ibn Rochd-Casablanca Maroc.Résultats: sur 7959 demandes d'hémocultures adressées au laboratoire de bactériologie provenant de 5801 patients, 2491 étaient positifs dont 848, soit 34% des ballons positifs ou 10,6% de l'ensemble des ballons reçus durant l'année 2016, ont été représentées par staphylocoque à coagulase négative, 56 soit (2,2%) ballons des hémocultures par corrynébacteruim SP, suivi par 60 soit (2,4%) ballons par bacillus sp. La fréquence d'isolement du SCN par rapport aux autres bactéries en fonction des services cliniques a montré une fréquence plus élevée dans les services de pédiatrie avec 47,2% suivie des services de médecine avec 44,1%. Conclusion: cette étude montre que, Les staphylocoques à coagulase négative sont les organismes les plus fréquemment isolés des hémocultures, ils constituent une cause non négligeable d'infections nosocomiales mais, ils sont également les contaminants les plus courants des hémocultures


Subject(s)
Academic Medical Centers , Blood Culture , Coagulase , Morocco , Staphylococcal Skin Infections/diagnosis , Staphylococcal Skin Infections/microbiology
3.
Article in French | AIM | ID: biblio-1264161

ABSTRACT

Introduction. Les états septiques sont associés à une morbidité et une mortalité importantes, surtout dans les pays à faible revenu. L'hémoculture est l'examen de choix pour le diagnostic de ces états mais en l'absence de recommandations claires à la disposition des praticiens dans les pays comme le Bénin, la pratique réelle de cet examen est mal connue. Objectif. Evaluer la prescription et la réalisation de l'hémoculture au Centre National Hospitalier et Universitaire Hubert Koutoukou Maga (CNHU-HKM) de Cotonou. Matériel et méthodes. Il s'agissait d'une étude transversale qui s'est déroulée de février à juillet 2014.Elle a concerné les patients hospitalisés dans sept services à forte demande d'hémocultures du CNHU-HKM et a comporté deux volets : - un volet rétrospectif sur l'évaluation de la prescription de l'hémoculture, à partir des dossiers médicauxdes patients, - un volet prospectif sur l'évaluation des conditions de réalisation des hémocultures, sur la base de l'observation directe de la réalisation du prélèvement sanguin pour hémocultures.Résultats. Les taux de prescription et de réalisation des hémocultures chez les patients étaient respectivement de 62,8% et de 82,2%. Avant le prélèvement, la désinfection de la peau au niveau de la zone de ponction était réalisée chez tous les patients mais la désinfection des mains de l'infirmier et le nettoyage des bouchons des flacons d'hémoculture n'étaient réalisés que dans 61,4% et 49,7% des cas respectivement. Par ailleurs, 47,2% des patients avaient pris au moins une dose d'antibiotiques avant le prélèvement. Conclusion. Les conditions de prescription et de réalisation des hémocultures ne sont pas optimales au CNHU-HKM de Cotonou. Des mesures urgentes sont nécessaires dans cet hôpital pour améliorer la qualité de la prescription et de la réalisation de cet examen


Subject(s)
Achievement , Benin , Blood Culture , Prescriptions
4.
Pan Afr. med. j ; 29(42)2017.
Article in French | AIM | ID: biblio-1268538

ABSTRACT

Introduction: la fièvre typhoïde est un problème majeur de santé publique dans les pays en voie de développement jusqu'à ce jour à cause de la vétusté des infrastructures sanitaires et des circuits de distribution de l'eau presque inexistant. En RDC en général et à Bukavu en particulier, l'hémoculture est inaccessible à la majorité des patients. L'objectif de cette étude était d'évaluer la sensibilité de Salmonella spp aux antibiotiques couramment utilisés dans la prise en charge de la Fièvre Typhoïde à Bukavu.Méthodes: une étude transversale étalée sur 6 mois était organisée. Tout malade suspect de la Fièvre Typhoïde était sélectionné dans l'étude. L'hémoculture était faite systématiquement chez tout malade sélectionné. L'identification de la souche bactérienne et l'antibiogramme étaient réalisés par de méthodes conventionnelles. Les antibiotiques suivants étaient testés: Amikacine, Amoxicilline, Augmentin, Ceftazidime, Ceftriaxone, Cefuroxime, Chloramphénicol, Ciprofloxacine, Cotrimoxazole, Doxycycline, Gentamicine, Négram, Norfloxacine.Résultats: 460 malades ont été sélectionnés dans l'étude. 144 (31,30%) hémocultures positives ont été observées. Salmonella spp était le germe le plus isolé (41,66%). Les souches de Salmonella spp isolées à Bukavu sont sensibles à la ciprofloxacine (91,7%), au ceftazidime (81,7%), ceftriaxone (80%), norfloxacine (80%), amikacine (76,6%) et au cefuroxime (73,3%). Elles restent résistantes aux autres molécules d'antibiotiques. Conclusion: ces résultats montrent une sensibilité diminuée à la plus part d'antibiotique. Un test d'antibiogramme est requis en cas de fièvre typhoïde pour une meilleure prise en charge


Subject(s)
Blood Culture , Democratic Republic of the Congo , Disease Management , Microbial Sensitivity Tests , Salmonella typhimurium , Typhoid Fever
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